Ainsi s'achève cette semaine, dans le silence. Pris par le boulot et son rythme soutenu de décisions à prendre rapidement et sans erreurs de préférence. Pris entre le marteau et l'enclume quand il a fallu s'auto-censurer pour préserver le club. Pris par la maladie des enfants et ce lundi soir à rallonge. Pris par la préparation du cours de jeudi soir finalement fait au feeling et celle de ce dimanche d'échange avec le club de kendo. Pris dans la folie acheteuse de Noël pour laquelle je me suis créé une bulle de sérénité. Pris par cette tristesse qui ne me lâche pas, tout comme son amie amertume. Voici enfin le silence...